dimanche 25 mai 2008

construction de l'Ecole Normale Supérieure de Maroua

Dans le cadre du Programme d’Appui à la Composante Technologique et Professionnelle de l’Enseignement Supérieur (PRO-ACTP) financé sur les fonds en provenance de l’Initiative d’Allègement de la Dette Multilatérale (IADM), à laquelle le Ministère de l’Enseignement Supérieur a été déclaré éligible le 05 avril 2007, à hauteur de 31 milliards de FCFA et dont le but est d’améliorer et de maximiser l’offre de formation des ressources humaines dans les filières de la santé, de l’ingénierie et de l’éducation,

Le Ministre de l’Enseignement Supérieur porte à la connaissance du public que les travaux de terrassement de vue de la construction de l’Ecole Normale Supérieure de MAROUA ont démarré le 2 Mai 2008, sur le site de Kongola – Djoulgouf – Kodek, sur une superficie de 45 ha, en présence de Monsieur HAMAN DJALO, Coordonnateur Technique de la Cellule Opérationnelle de Suivi de l’ENS de MAROUA.

Par ailleurs une délégation du Ministère de l’Enseignement Supérieur forte de six hauts responsables et conduite par le Pr. Jean Marie ESSONO, Directeur du Développement de l’Enseignement Supérieur et Président de la Cellule Opérationnelle de Suivi de l’ENS de MAROUA, se rendra sur les lieux le lundi 5 mai 2008, pour constater l’effectivité de ce démarrage en présence de Monsieur le Gouverneur de la province de l’Extrême Nord et de Monsieur le Préfet du Diamaré.

Ces travaux qui ont fait l’objet du marché N°007/M/MINESUP du 27 novembre 2007 passé avec le groupe SOMAF, pour un montant TTC de 465 millions francs CFA portant sur les travaux de terrassement et d’aménagement des accès et servitudes de l’ENS de MAROUA, pour un délai de 02 mois, constituent le point de départ du lancement des travaux qui se déroulent selon le chronogramme suivant :

1. de Décembre 2007 – Février 2008 : études topographiques et de sécurisation des sites pour un montant de 85 millions francs FCFA, sur financement IADM ;

2. de Septembre 2007 – Juin 2008 : études architecturales, techniques et confection de la maquette de ENS/MAROUA pour un montant de 395 926 784 francs CFA, sur financement IADM ;

3. de Janvier 2008 à Décembre 2009 : assistance en Maîtrise d’Ouvrage pour un montant de 130.000.000 francs CFA, sur financement IADM ;

4. de Février à avril 2008 : études de réactualisation des profils académiques pour un montant de 35 millions francs CFA, sur Fonds IADM ;

5. 2008 : études d’alimentation en eau et électricité ainsi que la mise en place d’une station d’épuration des eaux pour un montant de 50 millions francs CFA, sur Fonds IADM ;

6. 2008 : études géotechniques pour un montant de 40 millions francs CFA, sur fonds IADM ;

7. 2008 : étude de définition des équipements pédagogiques et didactiques pour un montant de 55 millions francs CFA, sur Fonds IADM ;

8. 2007 – 2008 : travaux de construction d’un bâtiment administratif d’un montant de 75 millions francs CFA, sur Fonds IADM ;

9. Juillet 2008 : démarrage des travaux de construction d’un bloc pédagogique de 800 places (phase 1 et 2) d’un montant de 475.000.000 francs CFA, sur Fonds IADM ;

10. septembre 2008 : démarrage des travaux de construction d’un amphi 500 pour un montant de 335 millions de francs CFA, sur Fonds IADM ;

11. 2007 – 2008 : démarrage des travaux de construction d’un bloc pédagogique (laboratoires, bureaux enseignants, Centre Multimédia, bibliothèque numérique, salles de réunions et conférences (phase I et II) pour un montant de 610 millions de francs CFA, Fonds IADM ;

12. 2008 : construction d’un restaurant universitaire de 250 places (phase I) pour un montant de 200 millions de francs CFA, sur BIP/MINESUP ;

13. 2008 : construction d’une cité Universitaire de 400 lits (phase I) pour un montant de 225 millions de francs CFA, sur Fonds BIP/MINESUP ;

14. 2008 : construction et équipent d’un bloc infirmerie (phase 1) 195 millions de francs CFA, sur Fonds IADM ;

15. 2008 : achat d’un véhicule pick-up tout terrain pour un montant de 25 millions francs CFA, sur Fonds IADM ;

16. 2008 : indemnisation pour un montant de 100 millions de francs CFA, sur Fonds BIP/MINESUP ;

Le coût total de ces réalisations s’élève à un montant cumulé de 3 495 926 784 (trois milliards quatre cent quatre vingt quinze millions neuf cent vingt six mille sept cent quatre vingt quatre) francs CFA pour les années 2007 et 2008, soit 990 millions francs CFA pour le BIP du MINESUP et 2 505 926 784 francs CFA pour les ressources IADM.

Toutes ces mesures se situent dans le cadre de la politique gouvernementale d’un accroissement qualitatif, quantitatif, diversifié et progressif de l’offre de formation universitaire au Cameroun dans les secteurs prioritaires du développement conformément aux très hautes instructions de Son Excellence Paul BIYA, Président de la République, Chef de l’Etat.

LE MINISTRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR

http://www.minesup.gov.cm/index.php?option=com_content&task=view&id=350&Itemid=1

universiades academiques


Le Ministre de l’Enseignement Supérieur informe les Etudiants des Universités d’Etat et des Institutions Privées d’Enseignement Supérieur que les Universiades Académiques au titre de l’année 2008 auront lieu au Campus de l’Université de Yaoundé I, dans les locaux du Centre Interuniversitaire des Technologies de l’Information (CITI) à Ngoa-Ekelle.
Appel à Candidatures
Les Universiades Académiques sont une compétition intellectuelle annuelle d’excellence académique réservée aux Etudiants des Institutions universitaires publiques et privées du Cameroun. Elles font intervenir les étudiants des différentes Institutions universitaires, en partenariat avec les enseignants, les opérateurs économiques, certaines administrations et la communauté universitaire.

1. CONTEXTE ET JUSTIFICATION :

L’Enseignement Supérieur camerounais est marqué en 2008 par le démarrage du système Licence, Master, Doctorat (LMD) dans les Institutions universitaires publiques et privées. Cette nouvelle réforme se veut un espace de qualification académique, de compétentialisation et de contribution à l’insertion professionnelle. Elle implique des activités visant à stimuler l’innovation et la créativité des étudiants. Elle rentre dans le cadre de la politique gouvernementale définie par la loi n°005 du 16 avril 2001, portant orientation de l’Enseignement Supérieur. Elle est prescrite par le Président de la République, S.E. Paul BIYA qui , s’adressant à la jeunesse le 10 février 2008, a présenté les problèmes majeurs auxquels fait face l’Université camerounaise. Parmi ces problèmes, le Chef de l’Etat a explicitement mentionné :

- « le chômage considérable des diplômés » ;

- « un manque d’interaction avec le monde socioprofessionnel » ;

- « une offre insuffisante de formations professionnalisantes ».

Aussi, a-t-il déclaré, qu’à l’effet de préparer le Cameroun à l’entrée dans le XXIe Siècle, la professionnalisation constitue l’objectif fondamental du système LMD, dans la finalité qu’à chaque étudiant puisse correspondre un emploi.

Le problème de l’emploi étant posé comme le problème majeur des Diplômés de l’Enseignement Supérieur, peut se décliner ainsi qu’il suit :

- le nombre d’Etudiants et Etudiantes de l’Enseignement Supérieur progresse de façon exponentielle.

- le nombre de diplômés de l’Enseignement Supérieur progresse également, mais en raison inverse de la progression de l’offre de l’emploi dans les secteurs publics et privés.

- Il existe donc un déficit structurel entre l’offre d’emploi proposée aux jeunes diplômés et le nombre de diplômés frappant chaque année à la porte du marché du travail.

C’est ce qui justifie l’orientation de la thématique générale des Universiades Académiques 2008 dans une perspective de promotion de l’entrepreneuriat et de l’insertion professionnelle. En effet, dans le système LMD, la formation à l’Université mène à l’emploi, et l’emploi conduit à l’égalité des chances de réussite sociale des étudiants. D’où le slogan : un Etudiant, un Emploi, qui peut se reformuler ici en termes de « un étudiant, une entreprise».

2. ARGUMENTS

Les arguments qui sous-tendent cette idée force sont les suivants :

I) la création d’entreprises et la culture de l’entrepreneuriat sont des axes vitaux pour toute société post-industrielle, en ce sens qu’elles contribuent à la régénération et au développement des économies. De même le mécanisme d’entrepreneuriat apparaît comme un moteur de l’économie des nations.

II) Les relations entre les Universités et les entreprises d’une part, l’enseignement de l’entrepreneuriat dans nos Universités, d’autre part, constituent un objet de préoccupation de la part des pouvoirs publics.

III) Il importe de développer les relations Universités-Entreprises et d’enseigner l’entrepreneuriat comme une discipline à part entière en terme de création d’entreprises, d’emploi et de culture entrepreneuriale : savoir, savoir-faire, savoir-être.

IV) L’éducation et la formation à l’entrepreneuriat répondent aujourd’hui à une demande sociale motivée.

3. OBJECTIFS GENERAUX

Les objectifs généraux des Universiades sont les suivants :

- Contribuer à l’insertion socioprofessionnelle des étudiants par la création d’entreprises ;

- Susciter auprès des étudiants la vocation à l’entrepreneuriat basé sur l’innovation ;

- Promouvoir des partenariats entre les Universités, les Entreprises et le Monde du travail ;

- Améliorer le cadre et la qualité de vie des populations ;

- Contribuer à la création des richesses et des services appropriés ;

- Soutenir la croissance économique ;

- Permettre le suivi des meilleurs projets élus en vue de leur valorisation et de leur aboutissement ;

- Améliorer le pouvoir d’achat des populations aussi bien dans l’environnement rural qu’urbain ;

- Résoudre le problème du chômage ;

- Permettre à l’étudiant de se frotter au monde de l’entreprise ;

- Rendre l’étudiant plus opérationnel.

4. OBJECTIFS SPECIFIQUES

Le principal objectif est d’élaborer un projet de création d’entreprise dans l’un des secteurs jugés prioritaires ou émergents proposés.

Les équipes devront garder à l’esprit que le projet pédagogique est fondamentalement différent du projet entrepreneurial. Le premier vise essentiellement l’acquisition des connaissances en lien avec les objectifs d’un cours ou d’un programme d’études. Il a pour but de construire sa vision du monde, d’émettre des hypothèses. On doit se poser des questions aux quelles on tente de répondre, de tirer des constats à partir des informations reçues, de partager ses connaissances.

Le projet pédagogique conduit donc à un travail d’enquête et à l’élaboration d’un savoir. Dans ce cadre, on pourra rédiger ou éditer un journal scolaire, mettre en place une exposition sur le système scolaire, sans que ces projets soient nécessairement de nature entrepreneuriale.

Quant au projet entrepreneurial, il se caractérise avant tout par son aspect concret, pratique. En effet, il conduit à la réalisation d’un projet dans le but de répondre à une problématique préalablement ciblée dans un milieu donné.

Le projet entrepreneurial innove, mène des actions en vue de la production d’un bien, d’un service ou un évènement ayant une valeur dans le milieu, parce qu’il répond à un besoin.

Dans cette optique, le projet entrepreneurial, pour être réussi, doit :

- générer une action en vue de créer un bien, un service ou un événement que l’on fait connaître à un public cible ;

- être caractérisé par une action originale, innovante, qui apporte une plus-value dans un milieu donné, une solution à un problème ;

- être mobilisateur ;

- être formateur pour l’étudiant en lui permettant de développer ses capacités entrepreneuriales ;

- avoir une portée et des répercussions dans ce sens, en comportant du moins, une certaine envergure ;

- acquérir des connaissances et aptitudes dans la création d’entreprise ;

- développer des compétences entrepreneuriales pour une bonne carrière dans les emplois au sein des entreprises ;

- obtenir des partenariats en matière d’appui technique et de financement ;

- créer des biens de consommation et des services adaptés au contexte ;

- générer des recettes et des devises.

L’Entreprise, qui est le but d’un projet entrepreneurial, a une importance considérable, car elle est un moteur non seulement de l’économie moderne, mais aussi de l’emploi, et de l’auto-emploi dans la production des richesses et la soutenabilité de la croissance.

Les UNAC 2008 portent donc, non pas sur des projets pédagogiques, mais sur des projets de création d’entreprise qui sont des projets à caractère économiques et professionnels.

5. THEME GENERAL

« La création d’entreprise par les jeunes talents universitaires, une nouvelle dynamique pour la promotion de l’entrepreneuriat dans les Universités camerounaises ».

6. LES SECTEURS D’ACTIVITES PROPOSES :

Les projets de création d’entreprise seront élaborés au choix des candidats dans les secteurs d’activités prioritaires et émergents ci-après, en fonction des besoins de la société :

1). Agriculture, Pêche et Elevage

2). Arts – Artisanat – Culture

3). Media–Communication – Cinématographie

4). Environnement, Energies et Ressources Naturelles

5). Entrepreneuriat féminin

6). Gestion du Territoire et des Collectivités locales décentralisées

7). Entreprises de Consultanat et de Service universitaires

8). Tourisme–Sports – Jeux–Loisirs

9). Construction, Travaux publics et Matériaux locaux

10).Commerce et Finance

11).Logistique et Transport

12).Industries manufacturières et Agro-alimentaire

13). Education–Santé–Ressources humaines.
7. LES CONDITIONS DE CANDIDATURE

Le concours est ouvert aux étudiants camerounais des deux sexes inscrits régulièrement dans un établissement de niveau universitaire du Cameroun, soit au niveau III, soit au niveau IV, soit au niveau V, dans l’année en cours , et n’ayant pas fait l’objet d’une sanction disciplinaire grave (blâme ou exclusion).

Les candidatures sont recevables sous forme d’équipe individuelle ou sous forme d’équipe de deux à trois membres.

Toutefois, les candidatures relatives au secteur « Entreprises féminines » devront comporter, soit des candidatures essentiellement féminines, soit des candidatures mixtes (filles et garçons).

Les candidatures sont présentées par l’Institution Universitaire Publique ou Privée. Aucune candidature indépendante ou non présentée par l’Institution universitaire ne sera acceptée.

8. LE DOSSIER DE CANDIDATURE

Le dossier de candidature de chaque équipe doit comporter les documents suivants :

- Une demande présentée sous forme de lettre de motivation ;

- Le Curriculum vitae de chacun des promoteurs ;

- Le résumé complet et succinct du projet en 2 pages (maximum) comprenant :

o le nom de l’institution universitaire qui présente le projet ;

o les noms des membres de l’équipe candidate ;

o l’intitulé du projet ;

o le secteur d’activité ;

o la description succincte du projet présenté assortie des mots-clés ;

o la pertinence du projet et la capacité d’innovation par rapport à ce qui existe déjà dans le secteur ;

o la liste des entreprises concurrentielles de la localité.

La fiche de candidature doit parvenir au Ministère de l’Enseignement Supérieur 60 jours avant le début de la défense orale des projets, délai de rigueur.

La fiche de candidature doit être validée et signée par le Chef de l’Institution qui présente l’équipe porteuse du projet.

9. CONDITIONS D’EVALUATION

L’évaluation se fera en deux parties :

- La première partie portera sur le document du Projet, présenté sur support papier ou numérique ;

- La deuxième partie portera sur la présentation orale et la soutenance du projet de création d’entreprise par l’équipe candidate devant un jury de trois membres.

Chacune des deux évaluations sera sanctionnée par une note, à concurrence de 30 points pour l’oral et 70 points pour le projet. La note finale sera arrêtée en faisant la moyenne générale des deux notes.

10. DATE ET LIEU DE RECEVABILITE DES DOSSIERS

Les projets de création d’entreprise seront présentés sous forme de support papier en quatre (04) exemplaires et sous forme de support numérique (CD-ROM) en deux (02) exemplaires.

Les dossiers de candidature doivent être libellés ainsi qu’il suit, et parvenir quarante cinq (45) jours avant le début de la défense orale, à l’adresse suivante :

MONSIEUR LE MINISTRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR

CONCOURS SUR LA CREATION D’ENTREPRISE PAR

LES JEUNES TALENTS UNIVERSITAIRES

BP 1739 YAOUNDE-CAMEROUN


Le Ministre de l’Enseignement Supérieur
Jacques FAME NDONGO

http://www.minesup.gov.cm

vendredi 9 mai 2008

Brèves

Le Ministre de l’Enseignement supérieur le PR Jacques FAME NDONGO a présidé le jeudi 08 mai 2008 à Yaoundé, les travaux de la rencontre statutaire entre les responsables de l’enseignement supérieur et les étudiants des universités d’Etat.
L’université de Yaoundé 1 organise des journées d’orientation depuis le jeudi 08 mai et ce jusqu`au vendredi 09 mai 2008. La professionnalisation est présentée comme étant l’atout majeur du système L.M.D (Licence Master Doctorat).

http://www.camerounlink.net

jeudi 8 mai 2008

53 entreprises aux côtés des étudiants de l’Istdi


Afin d’assister leurs meilleurs étudiants dont la situation financière précaire pourrait constituer une entrave à la réussite, la direction de l’Institut supérieur de technologies et du design industriel (Istdi) a pris l’initiative depuis trois ans de nouer un partenariat avec les chefs d’entreprises.

M.N.M

Dans le cadre de ce soutien, une somme de huit millions de francs Cfa a été collectée auprès de 53 entreprises donatrices. Ce montant a été reparti à 86 étudiants qui ont chacun bénéficié de 100.000 francs Cfa. Selon la direction de l’établissement, les bénéficiaires devaient répondre aux critères d’excellence scolaire, de discipline et être dans le besoin. Ces aides sociales profitent aux apprenants des différentes filières industrielles, commerciales et techniques de l’Istdi.

Le directeur de l’Institut, M. Guimezap, a remercié les entreprises donatrices de la confiance grandissante qu’elles manifestent à l’égard de cette institution. En effet, a-t-il souligné, cette initiative de soutenir l’excellence scolaire date de 2006 et à chaque fois, l’aide financière octroyée par les chefs d’entreprises est galopante. Parallèlement au financement de la formation, les entreprises proposent des stages académiques aux étudiants de l’Istdi. En marge de la cérémonie de remise d’aide financière, la direction de l’Istdi a récompensé les meilleurs projets proposés par les étudiants de cycle d’ingénieur. Les lots variaient de 100 à 200. 000 francs Cfa. L’Istdi a ouvert ses portes en 1999 et compte actuellement 1070 étudiants admis sur concours.

Mutations

vendredi 2 mai 2008

Enseignement supérieur au Cameroun

L'Enseignement supérieur publique au Cameroun est sous tutelle du Ministère de l'Enseignement Supérieur, MINESUP. Les 6 universités publique que compte le Cameroun sont issues de l'éclatement de l'Université du Cameroun de Yaoundé de par la Réforme de l'Enseignement Supérieur de 1993.
Leur mission définie dans l'article 3 du décret 027 de 1993 a été renforcée par la loi d'orientation du 19/01/2001. Elles sont chargées de formation, de recherche scientifique et technique, de l'appui au développement, de la promotion sociale, et de la promotion de la science, de la culture et de la conscience nationale . A ces universités sont généralement rattachés des écoles et instituts spécialisés d' enseignement et de recherches . L'enseignement supérieur privé est en pleine croissance au Cameroun . De ce fait le Cameroun compte déjà plusieurs Universités et Instituts supérieurs privés d' enseignement et de recherche.

Etablissements d'enseignement supérieur
Universités
Publiques
- Université de Buéa ;
- Université de Douala ;
- Université de Dschang ;
- Université de Ngaoundéré ;
- Université de Yaoundé I (Ngoaékélé) ;
- Université de Yaoundé II (Soa) ;

Privées
- Université de Yaoundé Sud Ndi Samba ;
- Université des Montagnes de Bangangté ;
- Université adventiste Cosendai de Nanga-Eboko ;
- Université catholique d'Afrique centrale ,Yaoundé ;
- Université protestante d' Afrique centrale , Yaoundé;
- Université Technologique protestante , Ebolowa - Elat ;
- Cameroon christian university, Bali & Kumba , ( en cours de construction,les cours y débuteront dès la rentrée académique prochaine )


Écoles et instituts
Publiques
- École Nationale d'Administration et de Magistrature (ENAM) ; ( Yaoundé )
- École Nationale Supérieure des Postes et Télécommunications (ENSPT) ;(Yaoundé)
- École nationale supérieure polytechnique de Yaoundé ; Yaoundé
- École Normale Supérieure du Cameroun (ENS) , Yaoundé
- École nationale supérieure de travaux publics (ENSTP), Yaounde
- École militaire interarme ( EMIA ) , Yaoundé
- École normale supérieure de l'enseignement technique de Douala (ENSET de Douala) ;
- École Supérieure des Sciences et Techniques de l'Information et de la Communication (ESSTIC), Yaoundé ;
- Ecole Supérieure des Sciences Economiques et Sociales (ESSEC), Douala
- Institut national de la jeunesse et des sports ( INJS ), Yaoundé
- Institut universitaire technologique de Bandjoun , ( IUT Fotso Victor )
- Institut universitaire technologique de Douala , ( IUT Douala )
- Institut universitaire technologique de Ngaoundéré ( IUT Ngaoundéré )
- École nationale supérieure d' agro-industrie de Ngaoundéré ( ENSAI )
- Ecole supérieure de traducteurs et Interprètes de Buea ( ASIF : advanced school of translators and interpretors )
- Institut des relations internationales du Cameroun ( IRIC , Yaoundé )
- Institut de formation et de recherche démographique ( IFORD , Yaoundé )
- Institut des beaux-arts de Foumban ( IBAF )
- Institut sous-régional de statistique et d économie appliquée ( ISSEA ) , Yaoundé
- Institut supérieur de management public ( ISMP ), Yaoundé
- École supérieure nationale de police

Privés
- Ecole Supérieure des Sciences et Techniques de Douala (ESSET)
- Institut Supérieur de Technologies Appliquées (INSTAP) ;
- Institut Siantou Supérieur de Yaoundé.
- Institut supérieur de management du Manengouba ( Nkongsamba )
- Institut africain d' informatique(IAI) , représentation du Cameroun(Yaoundé).
- Fonab Polytechnic , Bamenda
- Institut Supérieur de Technologie et de Design Industriel( ISTDI ) , Douala
- École Supérieure de Gestion (ESG) , Douala ;
- Ecole d' ingénieurs d' Afrique centrale ( EINAC ) ; Douala .
- Ecole supérieure de technologies avancées ( ISTA ) , Douala .
- Saint Louis institute of health , Bamenda
- École multinationale de télécommunication , Yaoundé
- Institut supérieur professionnel .

instituts et centres de recherche
Publiques
- Centre interuniversitaire des technologies de l' informations et de la communication ( CITI ) , Yaoundé ;
- Centre Africain de Recherche et de la Formation Sanitaire (CARFOP), Dschang
- Centre Régional en Agriculture Forêt Bois (CRESA)
- Centre international de référence Chantal Biya ( CIRCB ) , Yaoundé - Melen .


Privés

- Institut pour la recherche, le developpement socio-économique et la communication ( IRESCO ), Yaoundé , Mendong ;